Voila les éléments d'un article recueilli dans l'hebdomadaire "The Epoch Times" sur la toile le 22 mai 2023. Voici ce qu'il raconte... Anita Moorjani a été hospitalisée d’urgence après être tombée dans le coma en raison d’un lymphome en phase terminale. Le 2 février 2006, elle est "morte". Ses tumeurs avaient atteint la taille de balles de golf et de citrons. Le reste de son corps avait dépéri.
Elle était devenue squelettique, après quatre ans d’une maladie qui s’était progressivement aggravée. Le médecin a expliqué à son mari qu’elle n’était plus "là" et qu’il était "trop tard pour la sauver". Mme Moorjani était dans le coma à ce moment-là, mais elle a pu entendre et voir cette conversation. Elle a senti et vu la réaction des membres de sa famille... Ce qui l’a le plus surpris, c’est qu’elle se sentait merveilleusement bien, rayonnante et exempte de douleur. Elle avait accepté pour la première fois ce qu’elle était.
"J’étais si faible que mon corps ne pouvait plus absorber de nutriments. Mes poumons étaient remplis de liquide. J’avais des lésions cutanées ouvertes d’où sortaient des toxines… et je pesais environ 38 Kg, j’étais comme un squelette", a confié Mme Moorjani. "Mes muscles s’étaient complètement détériorés. Je ne pouvais même pas me tenir debout. Je ne pouvais même pas tenir ma tête à la verticale."
"J’avais tellement mal et j’avais peur de tout : j’avais peur du cancer, j’avais peur du traitement. Je craignais la mort. Ma vie était devenue vraiment inconfortable. J'avais tellement mal et j’étais tellement gênée", a-t-elle expliqué. " Et je me battais, je me battais depuis des années... je me battais pour rester en vie. Mais la nuit du 1er février 2006, j’ai arrêté de me battre, j’ai réalisé que c’était trop dur et la mort ne pouvait être pire. Alors j’ai laissé tomber".
Le lendemain, elle ne devait pas se réveiller. Les médecins ont annoncé à sa famille qu’elle ne tiendrait pas un jour de plus. Pourtant, le lendemain, elle s’est levée, pleinement consciente. Elle a assuré à sa famille qu’elle s’en sortirait et a eu une conversation avec son oncologue.
De fait, Mme Moorjani a vécu une expérience de mort imminente et s’est réveillée transformée sur le plan mental, émotionnel et spirituel : les changements physiques s’étaient produits rapidement. Elle a parlé d’une expérience intense dans un monde élargi. Elle savait que le cancer avait disparu. Elle savait comment et pourquoi. Ce n’était qu’une question de temps avant que les tests ne le confirment. Elle a quitté l’unité de soins intensifs quatre jours après son coma.
Alors Anita Moorjani raconte : "Je dis souvent aux gens que lorsqu’ils sont vraiment malades et qu’on leur dit qu’ils sont en train de mourir, le plus important n’est pas d’essayer de trouver comment mettre fin à la maladie. Il ne s’agit pas de faire des recherches sur sa maladie. Le plus important est de se demander ce que vous feriez du reste de votre vie si vous étiez en bonne santé aujourd’hui. Que feriez-vous différemment ? En quoi n’avez-vous pas suivi votre passion ? Vous voyez, ce n’est pas le cancer qui m’a tuée. Je me tuais en ne vivant pas pleinement ma vie. Le cancer m’a en fait sauvé la vie." ...
"Ma mission est donc de partager cette expérience avec tout le monde. Parce que je vois des gens dans ce monde faire des choses qu’ils pensent faire pour le bien, pour eux ou pour les autres, en disant qu’il ne faut pas faire ceci ou cela, que c’est mal et qu’il faut faire ceci ou cela. Mais ils le font envahis par la peur. Concentrez-vous sur ce qui est bon, sur ce que vous aimez, sur ce qui est sain et non sur ce qui est malsain."
"Nous avons une âme et un corps physique. Lorsque le corps physique ne reconnaît pas que l’on a une âme et qu’il pense que seul ce monde tridimensionnel à cinq sens existe, les informations qu’il reçoit sont très limitées." ...
"Cette expérience m’a montré, sans l’ombre d’un doute, qu’il y a une toute autre partie de moi bien plus grande que mon corps physique. Et qu’elle est connectée à quelque chose de bien plus grand que ce monde tridimensionnel, ce monde des cinq sens. Elle est connectée à l’univers."
"Et si je m’y intéresse, je peux y avoir accès. Et nous avons tous la capacité de le faire, nous l’avons tous. Mais on ne nous l’a jamais enseigné ou dit. C’est pourquoi l’une de mes missions est de montrer aux gens qu’ils ont ce pouvoir, qu’ils peuvent y accéder."
"Les gens seraient plus heureux s’ils savaient à quel point ils sont puissants, s’ils savaient à quel point ils sont aimés, et s’ils savaient qu’ils sont censés vivre une vie de joie sans peur. Ne vous abandonnez pas."
Il faut aussi que nous sachions que plusieurs milliers de personnes font ce type d'expérience d'EMI chaque année, que nombre de chercheurs en médecine et neuroscience travaillent sur ces phénomènes dont aucun des expérienceurs ne revient inchangé.
Voici tout un programme surprenant et si simple à la fois : "Aimez vous, aimez les gens et aimez la vie ! Prenez le plaisir d'être là et de faire et partager ce que vous aimez avec ceux que vous aimez maintenant et plus tard !" Ainsi, je ne dirai plus que nous vivons ici-bas "sur terre", mais que nous sommes "enmatérialisés" car, comme le disait Pierre Teilhard de Chardin, nous sommes des êtres spirituels qui font une expérience dans la matière et non l'inverse.
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