"Ce n'est ni le monde ni ce que nous y sommes ou y faisons qui nous font peur, mais l'idée que l'on s'en fait, car la vision guide nos pas. Et sur cela, nous avons la main. C'est là toute la puissance de notre pensée ! " Après avoir durant des années posté ici réflexions et conseils sur le management des organisations, je livre aujourd'hui une vision de la réalité, au plus profond de soi même sur l'être et l'univers. Profitez ! Si vous êtes désireux d'accomplissement personnel, ce blog est pour vous. Fouillez dans ces plus de 500 articles ! Commentez ! Partagez ! Si ces contenus vous intéressent, le droit de copie, même partiel, est sous Licence Creative Commons : chacun est donc libre de les reproduire, de les citer comme il le souhaite, à l'expresse condition d'en indiquer chaque fois la source et de ne pas en faire commerce.
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" 10 maximes du Manager Conseil "

Nous disons que le silence tue et ceci nous renvoie au fait que nous n'existons que de l'autre, que nous sommes autant sociaux que personnes. Ce silence n'est pas que de se taire mais aussi de ne pas entendre. L'écoute m’apparaît comme une porte indispensable à l'existence. 
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La plus grande des richesses est l'aménité, tout ce qui nous est amène, nous apporte, par l'agréable et l'aimable, du plaisir. Il est vrai que ceci se soustrait au commerce. Qui me vendrait et à quel prix la vue d'une orchidée, d'un ciel, d'un geste, d'un mouvement, d'une sensation d'air sur le visage ?...
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Les idées que le 19° siècle a posé, le 20° les a nommées "utopies" et le 21° les mets en oeuvre. Il me souvient que le sociologue Michel Maffesoli écrivait, il y a déjà plus de dix ans, que le 20e siècle était "une parenthèse idiote"...



Il se pose constamment à nous la question de l’essentiel. Qu'est-ce que cette richesse que nous poursuivons ?  Osons encore une fois dire que nous avons besoins de remettre l'humain au centre de tout avec tout ce qui en découle. 

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Rappelons nous que l'amateur, n'est pas un demi-professionnel peu compétant mais celui qui aime. Rappelons aussi que le bénévole n'est pas un travailleur gratuit mais celui qui "veut du bien". Nous voyons alors à quel point le gain comme logique sociétale détourne le réel.
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Si le développement technologique nous offre dix milles fois plus de performances Higt Thech que nous ne saurions jamais développer chacun, nous, humains, sommes toujours leaders en performances "Higt-concept" et "haigt-touch". Et c'est bien ça, l'intelligence.



La dimension émotionnelle comme marqueur du réel est abandonnée dans une culture post moderne déshumanisée, déstructurée, faite de consommateurs que certains appellent la génération Y, en anglais "Why", ceux qui développent un doutent de sens sur le monde et sur leur identité. Ils se demandent ce qu’ils font là (ndlr : ce ne sont pas des gens nés entre deux dates aléatoires). L'outil de cette génération est le capteur, le palpeur qui évalue et contrôle. Il est temps de penser le lien social autour de l'action, la création, l'imagination avec la personne, l'âme, l'anima. Il y a d'ailleurs un temps nouveau qui s'éveille.
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Gardons en mémoire que le mot "solidarité" relève de l'interdépendance des éléments et renvoie à "rendre plus solide". Si notre mode sociétal est sans éthique, sans morale, il est aussi sans conscience de l'interdépendance de chacun avec le collectif, avec l'ensemble du vivant.
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Trois éléments déterminent les comportements : les peurs, les envies et les visions (de soi, de l'autre, de l'objet et de l'environnement). Toute la dynamique d'une organisation, d'une stratégie, d'une relation, s'organise autour de ces trois variables.



Il y a deux choses qui insupportent les totalitarismes : l'art et la philo parce qu e tous deux réfléchissent doublement. Ils renvoient en pleine lumière l'image des faits et donnent à penser leurs causes et leurs conséquences. Aussi, les gens libres pratiquent ardemment les deux.

Jean-Marc SAURET