"Ce n'est ni le monde ni ce que nous y sommes ou y faisons qui nous font peur, mais l'idée que l'on s'en fait, car la vision guide nos pas. Et sur cela, nous avons la main. C'est là toute la puissance de notre pensée ! " Après avoir durant des années posté ici réflexions et conseils sur le management des organisations, je livre aujourd'hui une vision de la réalité, au plus profond de soi même sur l'être et l'univers. Profitez ! Si vous êtes désireux d'accomplissement personnel, ce blog est pour vous. Fouillez dans ces plus de 500 articles ! Commentez ! Partagez ! Si ces contenus vous intéressent, le droit de copie, même partiel, est sous Licence Creative Commons : chacun est donc libre de les reproduire, de les citer comme il le souhaite, à l'expresse condition d'en indiquer chaque fois la source et de ne pas en faire commerce.

Chanter pour changer


Une chanson historique qui a marqué des générations de militants pacifistes, "folkeux", de hippies, routards et beatniks. Peut être la chanson la plus populaire du début des années soixante, elle est devenue l'hymne du mouvement des droits civiques. Elle se trouve sur l'album "The Freewheelin' Bob Dylan" (juillet 1962). Elle reste une chanson emblématique de la conscience sociale, et ce dans le monde entier...

Alors, en ces temps de confinement où la population perd confiance en ses dirigeants, doute de leur capacité à gérer l'épidémie du coronavirus, où les conflits d'intérêts semblent passer avant la protection réelle des gens, où le sacro-saint néolibéralisme montre ses failles et parait s’effondrer, que les populations deviennent plus que jamais avides de démocratie, de localisme et d'une société plus girondine que jacobine, plus communaliste, alternante culturelle, elle m’apparaît comme une chanson de circonstance.

Hé bien, dégustons là !


J'ai enregistré cette chanson en accordant ma guitare parlor au diapason 432. Certains apprécierons... ;-)
Jean-Marc "Tyo BAZZ" Sauret
le dimanche 19 avril 2020

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