"Ce n'est ni le monde ni ce que nous y sommes ou y faisons qui nous font peur, mais l'idée que l'on s'en fait, car la vision guide nos pas. Et sur cela, nous avons la main. C'est là toute la puissance de notre pensée ! " Après avoir durant des années posté ici réflexions et conseils sur le management des organisations, je livre aujourd'hui une vision de la réalité, au plus profond de soi même sur l'être et l'univers. Profitez ! Si vous êtes désireux d'accomplissement personnel, ce blog est pour vous. Fouillez dans ces plus de 500 articles ! Commentez ! Partagez ! Si ces contenus vous intéressent, le droit de copie, même partiel, est sous Licence Creative Commons : chacun est donc libre de les reproduire, de les citer comme il le souhaite, à l'expresse condition d'en indiquer chaque fois la source et de ne pas en faire commerce.

"Si l'on passe sur les convenances !"

Parce qu'il m'est apparu que parfois une bonne chansons fait plus pour une cause que de longs discours, je réoriente parfois ma plume avec les cordes de la guitare et de la voix. 

Parce qu'aussi, un certain Robert Zimmerman ("l'homme de la chambre" comme le nomme un ami et compagnon de musique) a démontré la puissance des "protest songs", sans reconnaître jamais avoir voulu chercher à défendre ou combattre quoi que ce soit, j'ai choisi l'une de ses musiques emblématiques pour porter mes quelques mots, comme si celle-ci allait les rendre plus forts, les porter plus loin. C'est aussi un hommage au "maître" en la matière...




Mam', tu peux brûler mes insignes
Je ne les mettrai plus jamais.
Le temps est lourd, l'époque indigne
On ferme un cycle, c'est terminé.


                     Refrain :      Alors si l'on passe sur les convenances
Hé bien, forçons les certitudes
              Alors si l'on passe sur les convenances
Hé bien, forçons les habitudes

Mam', tu peux ranger mon armure
Je ne la mettrai plus jamais.
Le temps est lourd, les temps murmurent
Le cycle est clos à tout jamais.

Mam', je garde mon matricule
Ma mission est de protéger
En frappant le peuple, c'est l'ordre qui recule
Le cycle est clos, faut arréter.

Mam', je haie l'état de violences
Mon métier c'est de protéger
Je rentre alors en résistance
Le cycle est clos, c'est terminé


G
C
A
D

BB : Blues1 / T60 - SL2 C4 HB


Jean-Marc SAURET
Le mardi 2 avril 2019

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