"Ce n'est ni le monde ni ce que nous y sommes ou y faisons qui nous font peur, mais l'idée que l'on s'en fait, car la vision guide nos pas. Et sur cela, nous avons la main. C'est là toute la puissance de notre pensée ! " Après avoir durant des années posté ici réflexions et conseils sur le management des organisations, je livre aujourd'hui une vision de la réalité, au plus profond de soi même sur l'être et l'univers. Profitez ! Si vous êtes désireux d'accomplissement personnel, ce blog est pour vous. Fouillez dans ces plus de 500 articles ! Commentez ! Partagez ! Si ces contenus vous intéressent, le droit de copie, même partiel, est sous Licence Creative Commons : chacun est donc libre de les reproduire, de les citer comme il le souhaite, à l'expresse condition d'en indiquer chaque fois la source et de ne pas en faire commerce.

Son frère l'a arrimé à l'essentiel

Je suis, à chaque fois, si heureux quand j'entends le discours d'un grand dirigeant, d'un manager, d'un collaborateur, d'un employé ou d'un consommateur, mettant la logique du vivant devant celle de l'économie. Ce discours inattendu du directeur général de Danone devant une promotion d'HEC, école dont il est issu, me donne à penser qu'on ne peut plus penser le monde en riches et pauvres, en droite et gauche, mais en humaniste simplement (si l'on veut agir dessus). Il nous appartient ainsi de ne plus hurler avec les loups, d'oser l'essentiel et de construire dès maintenant un monde meilleur fait pour chacun et par tous.


Je me suis souvent trouvé, comme beaucoup d'entre nous, dans le désarroi, dans la lassitude, devant l'impuissance de ce combat pour lequel nous nous levons tous les matins. Il m'est arrivé de vouloir abandonner, de baisser les bras. Nous pouvons tous l'avouer. Mais, la rencontre d'un personnage comme Emmanuel FABER nous rappelle que, sur l'envers du décor, il y a des postures généreuses chez des gens que nous avons peut être caricaturé à l’excès, sans vergogne ni contact. Ce discours non seulement me renforce dans le fait de poursuivre sereinement la route, mais aussi de ne pas hurler avec les loups, de toujours raison garder. Plus encore, cela me donne l'espoir que nous ne sommes pas seuls, voire si nombreux, à avoir l'humain au cœur.
Jean-Marc SAURET
Publié le mardi 7 novembre 2017


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